D’où provient son nom ?
La barriere nadar équivaut à la barrière Vauban en France. En effet c’est le nom qu’on lui donne en Belgique principalement, mais pourquoi ? Me direz-vous.
Il faut remonter en 1864, le 26 septembre, plus précisément. Le photographe caricaturiste, écrivain et aéronaute Gaspard-Félix Tournachon de pseudonyme Nadar, fit ériger des barrières mobiles pour tenir la foule à distance lors de sa visite en ballon géant à Bruxelles. C’est donc depuis ce jour que l’on appelle ces clôtures de sécurité, de la sorte, en Belgique.
Dans quel but est utilisée la barriere nadar ?
Aujourd’hui, on appelle plus communément la barriere nadar, barrière de sécurité. Elle est employée comme son nom l’indique pour la sécurisation d’événements tels que festival, rencontre sportive, concert… On s’en sert pour bloquer un accès ou protéger un secteur sensible. Elle est essentiellement utilisée par les collectivités locales pour assurer le bon déroulement des festivités qui ont lieu au sein de leur ville.
Comment est-elle constituée ?
La barriere nadar est mobile. Constituée de quatre pieds, d’une structure et de barreaux en acier galvanisé, elle se veut robuste. Ses pieds sont décalés de façon à pouvoir stocker plusieurs barrières au carré. Grâce aux deux crochets dont elle est munie, il est possible d’accrocher les barrières entre elles pour améliorer le système de sécurité d’une part et pour créer une zone de passage infranchissable, d’autre part. Pour les installer, comme pour les ranger, elles se manipulent très facilement avec un engin de manutention. Conçue pour être exposée principalement à l’extérieur, elle résiste aussi bien aux chocs qu’aux intempéries.
Un événement à organiser ? Optez pour cette barrière et soyez certain que la sécurité sera infaillible. Évidemment, la barriere nadar est disponible à la location, chez de nombreux fournisseurs. Dans ce cas, nul besoin de se tracasser avec le stockage.